Peaux intimes.
Après une grosse opération et l’obligation de me raser sur la surface de l’intervention,
j’ai exploré la représentation de notre enveloppe corporelle, en réalisant avec le photographe Jean-paul Cattin
des macrophotographies de peau.
Pour la nuit blanche de Paris, j’ai choisi d’habiller des piliers de la ville d’Ivry de chair de poule.
Ce travail confronte la peau urbaine à la peau humaine. Il met en perspective notre relation
entre le monde architectonique et notre intimité.